Le 1er mai, une fête pour tous les travailleurs et un rendez-vous incontournable pour les jeunes de la JOC.
En effet, le 1er mai est pour les jocistes l’occasion de réaffirmer pleinement leurs valeurs ouvrières. Cet évènement représente un combat de la classe populaire depuis des décennies. Mais saviez-vous que cette fête nationale était à l’origine, pour obtenir la journée de huit heures à la fin du XIXe siècle ?
Et oui, déjà, à l’époque il fallait descendre dans la rue pour revendiquer ses droits et pour en conquérir de nouveaux ! C’est ce premier mai qui rassemble tous les ans la classe ouvrière afin qu’elle soit entendue et respectée dans ses conditions de vie parfois difficiles et précaires. C’est cette précarité de plus en plus présente qui pousse le peuple à aller dans la rue. C’est pourquoi les jeunes du milieu ouvrier sont allés protester dans la rue ce vendredi, pour un pays meilleur qui serait plus attentif aux personnes qu’à l’argent et au pouvoir, pour un pays avec une sureté de l’emploi, un pays et un peuple avec le droit à la santé, le droit à la retraite. Chacun y va pour ses idées. Pour Victoria 18 ans et engagée à la jeunesse communiste « c’est un évènement qui permet de réaffirmer l’importance des acquis sociaux des travailleurs ». De plus il est primordial selon elle de « montrer la présence des jeunes, des jeunes qui se bougent pour un monde meilleur. En outre dans ces manifestations nous passons toujours un moment convivial entre les différentes rencontres que l’on peut faire avec notamment les personnes du monde politico-associatif.”
Les jocistes de la fédé en ont profité pour récolter un maximum de signatures pour la pétition des droits des apprentis.
Par Corentin de Valence